Pour l’étude — publié ce mois dans le journal Preventive Veterinary Medicine — 96 chats dans un refuge ont été divisés en deux groupes. Un groupe a reçu une interaction positive avec la même personne pendant 10 minutes à la fois, quatre fois par jour, pendant 10 jours. Cette interaction, qui pourrait inclure des câlins, un brossage et des jeu, entre autre, est appelée « séduire ». Le groupe de chats témoin a été traité avec un chercheur qui restait devant leurs cages, les yeux détournés, pendant le même laps de temps.

Tous les 96 chats sélectionnés pour l’étude ont été jugés en bonne santé et satisfaits — par opposition à anxieux ou frustrés — au début de l’étude. A la fin, on a trouvé que les chats qui ont été séduits ont maintenu leur satisfaction, et étaient moins enclins à développer une maladie respiratoire haute.

Charlotte a d’abord perdu son mari, « parti voir ailleurs », puis un emploi valorisant, et enfin sa santé. Ayant perdu le sommeil et l’appétit, elle fait l’erreur d’aller consulter un psychiatre, qui croit détecter en elle des troubles bipolaires. C’est parti pour un « rallye médical » : un médicament pour l’humeur, un autre contre l’anxiété, un autre pour le sommeil. Résultat : plus cinq kilos, des migraines, des nausées, un épuisement permanent.

Sa première visite dans un refuge est la bonne. Elle revient avec un gros rouquin de trois ans, laissé pour compte pour cause de départ à l’étranger. (...) Lire la suite